Then I got distracted and ended up taking whatever pdf book I came across in my saved files and searching for "Hathor". The book was SAOC 55, _For His Ka: Essays Offered in Memory of Klaus Baer_. I learned of another way in which Hathor might be referred to:
The phonetic spelling of Hathor (Footnote 42, page 27)
"Ptolemy IV Philopator and Arsinoe III built a temple dedicated to Hathor and Maat at Deir el-Medineh..." (Footnote 5, page 99) There is a "close connection between Maat and Hathor, particularly in the Late period; on the association of the two deities, see Derchain 1972, pp. 39-40." (page 107) I found Philippe Derchain's book title in a list of references: _Hathor Quadrifons: Recherches sur la Syntax d'un Mythe Égyptien_. Written in French! I was luckily able to find a copy, but it's written in French. (Insert pouty face :( ) So I brought up the reverso.net page and got to work. Fortunately, the text allowed copy and paste, and the character recognition on it wasn't too bad. Between reverso.net and my high school French studies, I was able to hammer out something meaningful, but am breaking it up a bit spacewise for better digestion:
"Ce parallélisme de Maât et de Hathor montre que les deux déesses doivent remplir les mêmes fonctions, qu'elle sont en quelque sorte deux désignations ou deux aspects d'une même puissaance." (page 39)
"Leur équivalence peut encore être mise en évidence par la comparaison de deux vignettes de papyrus dits mythologiques de la 21e dynastie qui représentent l'un et l'autre la barque solaire au moment de sa réapparition matinale, comme l'indique l'hymne au soleil levant qui accompagne l'une et la forme de scarabée ailé qu'on a donnée au dieu soleil dans l'autre31."(pages 39-40)
"Or, à la proue de la barque se tiennent chaque fois deux déesses. Dans le papyrus de Neskhons, elles sont identiques et le disque entouré de cornes de vache qu'elles portent sur la tête les désigne comme Hathor. Dans le papyrus de Djedkhonsefankh au contraire, la première figure es Maât, reconnaissable à la plume piquée dans sa chevelure, la seconde Hathor parée comme dans l'autre papyrus. L'identité de fonction des deux couples de déesses indiquée par leur position impose la conclusion que Maât et Hathor sont considérées comme deux signes interchangeables." (page 40)
"Le groupe plus précis du papyrus de Djedkhonsefankh correspond à la description la plus précise de la barque solaire, à la proue de laquelle les deux déesses se tiennent dans d'autres circonstances, comme dans cette liste héliopolitaine d'une inscription du Ramesséum 32 où Maât et Hathor figurent en tête du groupe des divinités qui prennent place à l'avant de la barque solaire." (page 40)
"La duplication de Hathor dans le papyrus de
Neskhons ne peut être comprise qu'en admettant l'équivalence des deux déesses
dans leur fonction de pilote de la barque, la synonymie des deux signes dans la
description du régiment du monde.
Soit dit en passant, l'attitude de Maât que nous observons là ne fait que suggérer à l'oeil le sens profond de son nom qui devrait être "Celle qui guide",
selon une hypothèse très probable de Westendorf, sur laquelle je reviendrai plus loin 33." (page 40)
Footnotes
32 Pour une description générale de la scène se reporter à l'appendice p. 50-51 où on trouvera
aussi la bibliographie. Pour une photographie, voir la pl. 8. La liste des occupants de la
barque de Râ comprend Maât, Hathor, un dieu dont le nom a disparu presque complètement,
Hou, Sia, Khonsou, Oupouaout et Seth (Souty) maître de la vie, tous [Hat wia en Re'e], ce
qui doit signifier plutôt "à l'avant de la barque de Râ" que directement "à la proue" compte
tenu de leur nombre. Viennent ensuite les étoiles circompolaires et les planètes, enfin "ceux
qui ignorent l'obstacle, les voyageurs et les rameurs de Râ", figures dont on retrouve certaines au cours de la navigation nocturne du soleil (Hornung, Amduat, Agyptol. Abhandl. 7,
1963. Nos. 655, 659, = 9e heure).
33 Westendorf, Ursprung und Wesen der Maât, Festschrift Dr. Will, München 1966, 208 sq.
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"Neskhons, wife of the high priest of Amun, Pinedjem II (c. 990=969 BC) in the late 21st Dynasty." (John H. Taylor, _Death and the Afterlife in Ancient Egypt_, (University of Chicago Press/British Museum Press 2001), page 116)
I did learn at least part of her papyrus is in the Cairo museum in this reference, "papyrus and tablet of Neskhons (Cairo 58032 and 46891) (Robert Kriech Ritner, _The Libyan Anarchy: Inscriptions from Egypt's Third Intermediate Period_, (Society of Biblical Literature 2009), page 506)
Ritner translates a "Hieratic wall docket recording the burial of Neskhons, Inscribed on the right door-jamb at the bottom of the tomb shaft":
This Djedkhonsuiuefankh and the Djedkhonsefankh to whom Derchain refers might be the same person. In which case the two examples that Derchain speaks about are likely done in a close time frame, possibly even by the same artist? While Hathor-Ma'at is definitely a syncretism in the Ptolemaic period, was this a common occurance in the 21st Dynasty?
As a further thing to add to the mystery, First Dynasty King Djer had an ivory tablet of which Petrie wrote about and shared a photo:
"The figure of Hathor with the feather between the horns", isn't that what we see in the Dendera image?
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© Joan Ann Lansberry